La fabrique des livres anonymes
Le dernier roman d’Isabelle Marsay, La fabrique des livres anonymes, est mystérieux, facétieux, rempli d’énigmes et de suspense. Il met en scène sept écrivains dans un dispositif qui permet à l’auteure de jouer avec les codes du roman.
Sept auteurs pour un mécène
Sept auteurs ont donc accepté de signer un contrat alléchant leur imposant des couper du monde durant neuf mois, dans un lieu inconnu, sans connexion, afin d’écrire un roman dont ils céderont les droits à un mystérieux mécène, qui assurera la promotion de leurs œuvres en son nom propre.
Sept romans, sept auteurs : Darius, Egon, Margot, Myrtille, Paul, Théo, Betty. Ils échouent sur une plateforme pétrolière désaffectée en pleine mer du Nord, près du cercle polaire. Passant de surprises en énigmes, le lecteur découvre les termes de l’étrange contrat, les extraits des œuvres en gestation, leur genèse avant de suivre les rebondissements liés au œuvres des auteurs, aux relations qui se nouent entre eux et au roman lui-même.
Sept romans, sept styles : un thriller psychologique ; un roman d’anticipation ; une dystopie ; un roman intimiste ; un fait divers ; deux textes inclassables.
Une expérience du confinement
Les auteurs survivront-ils à cette expérience d’isolement total, à la nuit polaire et à un huis clos digne d’un thriller après la découverte du meurtre qui a été apparemment commis sur la plateforme vingt ans plus tôt ? Parviendront-ils à écrire dans des conditions extrêmes et à comprendre la raison de leur présence en ce lieu ? Connaîtront-ils l’identité de leur mystérieux mécène ? L’un de leurs romans sera-t-il vraiment promu ? Et si l’hélicoptère qui assure leur ravitaillement toutes les six semaines, un jour, n’arrivait pas ?
Un roman-gigogne original, ambitieux, tour à tour oppressant, drôle, déchirant, qui rend hommage à la littérature, le lecteur étant convié à pénétrer dans les coulisses de la création, à rencontrer des auteurs surprenants et à résoudre maintes énigmes.
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Une famille amiénoise dans la tourmente – Mai 1940 – Mars 1941
Les Kurkjian-Danten. Une famille amiénoise dans la tourmente. Mai 1940 – Mars 1941
Marie-France Leblond-Kurkjian
Une famille amiénoise dans la tourmente : transmettre une histoire familiale de la seconde guerre mondiale
Ce livrese compose de de lettres échangées durant la seconde guerre mondiale entre les parents de l’auteur. L’auteur a ajouté les carnets de son père dans lesquels il notait au jour le jour des événements, des itinéraires…
Avec ce livre, Marie-France Leblond-Kurkjian transmet une histoire familiale, dans le contexte dramatique des débuts de la deuxième guerre mondiale. Elle donne ainsi davantage de présence à ceux que le temps a éloignés. Elle témoigne des liens étroits qui unissent une famille et lui donnent le courage de faire face à une redoutable adversité.
La micro-histoire : la perspective du vécu des populations dans l’histoire des Nations
En exploitant lettres, carnets et documents divers, Marie-France Leblond-Kurkjian emprunte la voie de la micro-histoire qui cherche à donner davantage d’humanité à l’histoire plus officielle. Celle des regards plus généraux, nécessaires certes, mais plus distants du quotidien vécu par les populations. Elle nous parle ainsi du quotidien des populations ballotées par des événements qui souvent les dépassent, comme lors de la seconde guerre mondiale à Amiens.
Qui est Marie-France Leblond-Kurkjian ?
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Vivre au mieux. Accéder au bonheur.
Vivre au mieux. Accéder au bonheur
Dr Didier Arnould
Vivre au mieux : Agir sur soi par le développement personnel
Se relaxer, se revitaliser. Vivre au mieux est une proposition de conseils, de tests et d’exercices pour accéder au bonheur. Livre de développement personnel, Vivre au mieux est aussi une réflexion philosophique sur la vie.
Notre mode de vie nous rend insatisfaits en permanence. Cet essai, Vivre au mieux, apporte les moyens de vivre en harmonie avec soi et les autres et d’accéder au bonheur par le développement personnel.
Une philosophie de vie pour vivre au mieux
C’est sur les longs chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle que le Dr Didier Arnould réalise un bilan de vie et découvre le sens de sa vie : être utile comme passeur de messages.
Lors de séjours en Inde, il a été bouleversé par la dignité, le courage, les forces de survie, l’accueil souriant des plus miséreux. Mais il a été réconforté par l’empathie, la bienveillance, la résilience et la simplicité de vie bouddhiste.
Témoignage optimiste de vie, cet essai, issu du concept de développement personnel Vivre au mieux , est à la fois une réflexion philosophique et une proposition de conseils, de tests et d’exercices pour se relaxer et se revitaliser.
Qui est Didier Arnould
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De la musique plein la tête. Des années pop aux années punk
Pierre de Chocqueuse revisite les années cinquante jusqu’aux années quatre-vingt qui ont vu l’apparition en France du rock puis de la musique pop jusqu’au punk. Son texte documenté fourmille d’anecdotes que l’auteur a vécu. On assiste à la création et la disparition de groupes et de musiciens d’une période qui reste une référence musicale.
Devenir acteur de la musique pop
La musique fit le bonheur de Pierre dans sa jeunesse. À Genève où vivaient ses grands-parents, le jeune frère de sa mère lui fit découvrir les Beatles et les Rolling Stones. Né au début des années cinquante, il vécut en direct l’âge d’or d’une pop musique devenue adulte, celle de la seconde moitié des années soixante et les années soixante-dix. Époque que l’on redécouvre aujourd’hui au cours de laquelle s’implanta dans le domaine médiatique une contre-culture militante avec ses journaux (Best, Rock & Folk, Actuel), ses émissions de radio (Campus de Michel Lancelot, le Pop-Club de José Arthur, ses films, ses livres, ses disques et ses concerts.
Mélomane boulimique, curieux de tout, Pierre organise des concerts à la fac de Nanterre. La musique qui lui trotte dans la tête lui fait alors endosser un habit de critique du rock au sein du magazine Best. Il travaille ensuite pour la maison de disque Polydor, dont il en devient attaché de presse, puis label manager. Ainsi, il s’occupe de nombreux artistes parmi lesquels Ringo Starr, les Who et les Bee Gees. Ces années Polydor furent aussi celles de sa découverte du jazz, plus proche de sa sensibilité. Plus tard, elle le conduira à faire carrière avec Jazz Hot.
Chronique des années disparues
Abordés sur un ton délibérément humoristique, ces souvenirs racontent une époque aujourd’hui disparue. On y rencontre des membres de sa famille dont il est alors le mouton noir, le rebelle chevelu dont le père se demande bien ce qu’il pourra faire plus tard. Mais aussi des personnages singuliers que l’on croirait sortis de romans. Tout est vrai dans ce récit écrit à la première personne. Il donne envie de se replonger dans ces années bénies où tout était généreux, permissif, et plus libre.
Le blog de Pierre de Choqueuse : Chocdeblog
Premieres-pages-De-la-musique-plein-la-tête
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La presse en parle
Couleur Jazz : https://couleursjazz.fr/fr/pierre-de-chocqueuse-de-la-musique-plein-la-tete/
TSF jazz : https://www.tsfjazz.com/programmes/les-matins-jazz/2022-01-25/06-00
Mares & Jardins
Une ode à la nature
Que ce soit dans un jardin urbain ou une bord d’une mare, la bêche ou la perche à la main, Philippe Lacoche est un amoureux inconditionnel de la nature. Qui ne l’a pas déjà croisé dans ses habits de pécheur ou de jardinier, laissant tomber le clavier pour se fondre dans l’intimité de la nature ? A-t-il laissé quelqu’un indifférent ? Certainement pas le romancier Franck Maubert qui fait l’amitié de signer une préface haute en considération…
Dur confinement
Mais voilà ! Mars, avril, mai, juin… 2020. Chaque davantage confiné. Ça commence à faire long à notre auteur ! Ne plus pouvoir se balader sans attestation ; se priver d’aller au bistrot de toute façon fermé ; Oui, ça devient vraiment très long ! Heureusement, il lui reste le jardin. Alors, allons-y justement au fil de ces chroniques croquées au jour le jour par un Philippe Lacoche malicieux et rieur de lui-même.
Truculent jusqu’au bout des mots, nous voici naviguant sur l’eau plate de quelques mares où le jardinier à tôt fait de laisser tomber la bêche pour la perche, la touffe d’herbe pour l’eau épaisse et poissonneuse…
Jeux de mots, jeux de couleurs
D’abord éditées dans les pages du Courrier picard entre mars et août 2020, les Chroniques sont présentées ici dans leur ordre de parution. Quelques photographies passées en noir et blanc s’illustrent en miniature, laissant la tonalité des couleurs se jouer des mots et des situations…
« Le jardinier confiné, parfois, tourne en rond chez lui. Alors, pour se détendre, il fait un tour dans son jardin. Il observe. Là, un couple de tourterelles vient de se poser sur les branches hautes du cerisier de Tio Guy. Ils se donnent des petits coups de becs ce qui, sans aucun doute, dans la gestuelle tourterellière, sont les équivalents des baisers. »
Anatolie en Australie
Anatolie est une série de livres illustrés pour enfants mettant en scène Anatolie, une petite fille agile.
Elle possède un parapluie magique qui l’entraîne dans des contrées diverses. Il suffit qu’elle l’ouvre pour être projetée dans un pays qui lui est inconnu où elle va à la rencontre des habitants, des animaux et de la flore.
Anatolie est est une série de livres illustrés pour enfants et adapté aux très jeunes enfants qui n’ont pas accès à la lecture et aux primo-lecteurs. Les uns comme les autres découvriront un univers très coloré, enthousiaste qui leur ouvrira l’imaginaire.
Les jeunes lecteurs auront le loisir de découvrir des mots en minuscules, majuscules, en italiques, en gras, de travers, en grosses lettres… ce qui les familiarisera avec différents types d’écriture.
Vidéo de présentation d’Anatolie
Déjà paru
Anatolie en Afrique (n°1, été 2020)
À paraître
Anatolie en Russie (n°3, hiver 2021)
Anatolie en Chine (n°4, printemps 2022)
Nionikan
Nionikan, Nouvelle-Calédonie
Nionikan est une histoire d’amour ! Un amour vrai pour la Nouvelle-Calédonie et les Calédoniens, Kanak comme Caldoches. Et un amour romanesque entre les personnages du roman. Celui entre Soizic et Willy, qui est effleuré et ne se déclare pas. Celui entre Médéric et Isabelle, amour caché car ils appartiennent à des communautés différentes, « métro » et métis.
Françoise du Clairais montre que l’amour efface les différences, les tensions, le racisme souvent, la haine peut-être… Elle suit en cela la posture de Jean-Marie Tjibaou comme celle des Kanak, adepte d’une certaine forme de non-violence.
Le drame de la grotte d’Ouvéa
Car la véritable intrigue de Nionikan se trouve ailleurs : vouloir comprendre, sans prendre parti, comment les deux communautés, Kanak et Caldoches, en sont arrivées aux affrontements des années quatre-vingt.
Mais c’est une véritable « guerre civile » qui s’est déroulée en cette fin des années quatre-vingt. Elle s’est terminée dans le sang. La prise d’otages de la Grotte d’Ouvéa, les morts de gendarmes et de jeunes kanak en sont les illustrations les plus médiatiques. Le roman se conclu sur la paix retrouvée par les négociations conduites par Michel Rocard, alors Premier Ministre, avec Jean-Marie Tjibaou et Jacques Lafleur, puis par l’assassinat de Jean-Marie Tjibaou par un Mélanésien.
La situation politique en Nouvelle-Calédonie
Dans Nionikan, Françoise du Clairais dénonce aussi l’attitude des différents Gouvernements français. Souvent hostiles à la discussion, ils n’ont pas toujours compris ou voulu comprendre ce qui se jouait en Nouvelle-Calédonie. Les accords de Matignon signés le 26 juin 1988 sous le Gouvernement Rocard ouvriront cependant la voie à l’accord de Nouméa. Signé le 5 mai 1998, il met en œuvre le référendum d’auto-détermination. Il inclut aussi la reconnaissance d’une citoyenneté de la Nouvelle-Calédonie, premier exemple d’infra-citoyenneté en France.
Les référendums pour l’auto-détermination du « Caillou »
Dans cette période de référendums pour l’auto-détermination du statut de la Nouvelle-Calédonie, Françoise du Clairais apporte la compréhension nécessaire sur les racines de la situation actuelle.
Le 4 novembre 2018, 56,4 % des électeurs ont voté contre l’indépendance.
Le 4 octobre 2020, 53,26 % des électeurs ont voté contre l’indépendance.
Un troisième et dernier référendum est possible dans les deux années à venir.
Qui est Françoise du Clairais ?
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Version numérique disponible sur kindle, kobo
L’atelier dépression : libre expression
L’atelier Dépression : libre expression de l’université de Picardie Jules Verne réunissant, sous l’animation du journaliste Philippe Lacoche, sept d’étudiants en lettres auxquels se sont ajoutés trois étudiants en art. Leur défi ? Écrire une histoire courte alternant les mots et les images. L’atelier dépression était né sous la conduit de Philippe Lacoche.
Expression collective
Une idée griffonnée a mis le feu aux poudres créatrices. Le roman prit forme au fil des ateliers. Les étudiants bédéistes dessinaient parallèlement leurs planches. Leila, Paul-Henri, Enzo sont autant les personnages principaux de ce court roman que des archétypes de la société actuelle dont les principaux traits seraient l’individualisme, la confusion des valeurs et la nécessité de croire, quelle que soit l’objet de la croyance. La chute du roman est un hymne inversé à notre vie sociale.
Mise en scène
L’Atelier dépression ou la libre expression théâtrale, fonctionnant comme miroir de la théâtralité des situations romanesques. Par deux fois, la compagnie théâtrale de l’université donc spectacle. Une première fois, ce fut la Maison de Jules Verne elle-même qui accueillit les déambulations des spectateurs à travers les pièces de vie et de travail de Jules Verne, chacune réservée à un chapitre du roman. La seconde fois, ce fut l’université de Picardie Jules Verne qui s’offrit au spectacle. Les deux lieux accueillant les planches illustrées de l’histoire.
L’aventure se poursuit
L’aventure de L’Atelier dépression se poursuit avec la présentation officielle du livre à la Maison de la culture d’Amiens (16 octobre) et une signature la librairie Bulles en stock le 17 octobre après-midi. L’occasion aussi de revenir sur ce beau travail qui a permis la création d’une nouvelle collection aux Soleils Bleus éditions : Des mots à dessein.
Découvrir Atelier Dépression-p15-21
Acheter Atelier Dépression sur la boutik des Soleils Bleus (version imprimée)
Atelier dépression existe aussi en E-pub (Kobo, Kindle) (à venir)
Anatolie en Afrique
Anatolie est une série de livres illustrés mettant en scène Anatolie, une petite fille agile.
Elle possède un parapluie magique qui l’entraîne dans des contrées diverses. Il suffit qu’elle l’ouvre pour être projetée dans un pays qui lui est inconnu où elle va à la rencontre des habitants, des animaux et de la flore.
Anatolie est adapté aux très jeunes enfants qui n’ont pas accès à la lecture et aux primo-lecteurs. Les uns comme les autres découvriront un univers très coloré, enthousiaste qui leur ouvrira l’imaginaire.
Les jeunes lecteurs auront le loisir de découvrir des mots en minuscules, majuscules, en italiques, en gras, de travers, en grosses lettres… ce qui les familiarisera avec différents types d’écriture.
Ce premier volume a d’abord été édité à compte d’auteur avant d’être repris par les Soleils Bleus qui en assurent la commercialisation et va éditer les six prochains albums prévus.
Vidéo de présentation d’Anatolie
Déjà paru
Anatolie en Australie (n°2, printemps 2020)
À paraître
Anatolie en Russie (n°3, hiver 2021)
Anatolie en Chine (n°4, été 2022)
Coquilles cocasses de Ch’Cour pic
Coquilles cocasses de Ch’Cour pic, voici un titre de mise en bouche. Étienne Roger, l’oeil perspicace, la plume trempée dans l’encre des dictionnaires et des grammaires, part à la chasse des perles et autres cocasseries égarées ici ou là par les journalistes, typographes ou correcteurs du Courrier picard.
Bien loin d’enfiler les perles…
Écoliers, collégiens, lycéens nous avons tous été en butte à ces accords détestables, à ces fautes d’orthographe, à ces erreurs de sens, ces appréciations hasardeuses, ces coquilles typographiques que nous laissons sur ces pages et pages que nous écrivons aujourd’hui sur nos smartphones ou tablettes… dans les colones des journaux si nous avons fait œuvre de journaliste. La tâche est rude dans cette recherche de ces perles d’autant plus précieuses qu’elles portent leur mot d’humour. Alors est-ce case vraiment inutile que d’enfiler ces perles-là… ?
Classer pour ne pas être submerger
Avec patience, Étienne Roger a compilé les unes après les autres ses trouvailles piochées dans les pages du Courrier picard. Devant la masse de ces quelque 350 objets iconoclates, il a bien fallu classer ce qui allait de pair.
Le classement suit cette logique :
Un mot pour un autre (a à d) ( e à m) (n à v)
L’info est presque exacte
Quand le français s’emmêle
Il manque quelque chose
À n’y plus rien comprendre
Homophonie, quand tu nous tiens
Cela va sans dire
Le compte n’est pas bon
C’est juste le contraire
No comment !
Les petites dernières
Pour chaque coquille découverte, l’article original est scanner puis reproduit pour être lisible et la coquille soulignée. Étienne Roger selon son humeur corrige, commente, plaisante ou laisse les choses allez ainsi parce qu’elles se suffisent à elles-mêmes. Il y a ainsi ces dates qui sont fausses, ces contresens, ces approximations hasardeuses ou loufoques, ces tautologies dont tous pourraient se passer, ces phrases incomplètes, ces anglicismes sans avenir, etc.
Coquilles cocasses de Ch’Cour pic : à lire sans modération !
Rues Madeleine Michelis
« Une toile de jute bleue recouvrait désormais les murs, des rideaux grenat ornaient la fenêtre, et une portière du même tissu fermait un cagibi. Je la tirai. Elle dissimulait dorénavant la cuve. Mais ce n’était pas tout. Le meuble, en dessous, occupait presque tout l’espace. Il était relégué au rang de vieillerie dont on n’ose cependant pas se débarrasser. À moins qu’on ne sache que faire de son contenu ?
J’éprouvais une sensation de flottement et un sentiment d’étrangeté, l’impression de me trouver une fois de plus hors-sol. Décidément, ma famille ne fonctionnait pas comme les autres. La fin de M expliquait-elle cette errance ? »
À la recherche
Par un témoignage poignant, subtil, Marie-Claude Durand, s’attaque au silence familial qui s’est installé devant la figure de sa tante, Madeleine Michelis, élevée au rang des Justes après la seconde Guerre Mondiale.
En nommant les objets, les lieux où sa tante a vécu, en essayant de reconstitué le puzzle de leur vie à toutes les deux, elle cherche à faire surgir une personne dynamique, inspirante qui s’ouvre à l’avenir.