Une famille amiénoise dans la tourmente – Mai 1940 – Mars 1941
Les Kurkjian-Danten. Une famille amiénoise dans la tourmente. Mai 1940 – Mars 1941
Marie-France Leblond-Kurkjian
Une famille amiénoise dans la tourmente : transmettre une histoire familiale de la seconde guerre mondiale
Ce livrese compose de de lettres échangées durant la seconde guerre mondiale entre les parents de l’auteur. L’auteur a ajouté les carnets de son père dans lesquels il notait au jour le jour des événements, des itinéraires…
Avec ce livre, Marie-France Leblond-Kurkjian transmet une histoire familiale, dans le contexte dramatique des débuts de la deuxième guerre mondiale. Elle donne ainsi davantage de présence à ceux que le temps a éloignés. Elle témoigne des liens étroits qui unissent une famille et lui donnent le courage de faire face à une redoutable adversité.
La micro-histoire : la perspective du vécu des populations dans l’histoire des Nations
En exploitant lettres, carnets et documents divers, Marie-France Leblond-Kurkjian emprunte la voie de la micro-histoire qui cherche à donner davantage d’humanité à l’histoire plus officielle. Celle des regards plus généraux, nécessaires certes, mais plus distants du quotidien vécu par les populations. Elle nous parle ainsi du quotidien des populations ballotées par des événements qui souvent les dépassent, comme lors de la seconde guerre mondiale à Amiens.
Qui est Marie-France Leblond-Kurkjian ?
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Vivre au mieux. Accéder au bonheur.
Vivre au mieux. Accéder au bonheur
Dr Didier Arnould
Vivre au mieux : Agir sur soi par le développement personnel
Se relaxer, se revitaliser. Vivre au mieux est une proposition de conseils, de tests et d’exercices pour accéder au bonheur. Livre de développement personnel, Vivre au mieux est aussi une réflexion philosophique sur la vie.
Notre mode de vie nous rend insatisfaits en permanence. Cet essai, Vivre au mieux, apporte les moyens de vivre en harmonie avec soi et les autres et d’accéder au bonheur par le développement personnel.
Une philosophie de vie pour vivre au mieux
C’est sur les longs chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle que le Dr Didier Arnould réalise un bilan de vie et découvre le sens de sa vie : être utile comme passeur de messages.
Lors de séjours en Inde, il a été bouleversé par la dignité, le courage, les forces de survie, l’accueil souriant des plus miséreux. Mais il a été réconforté par l’empathie, la bienveillance, la résilience et la simplicité de vie bouddhiste.
Témoignage optimiste de vie, cet essai, issu du concept de développement personnel Vivre au mieux , est à la fois une réflexion philosophique et une proposition de conseils, de tests et d’exercices pour se relaxer et se revitaliser.
Qui est Didier Arnould
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De la musique plein la tête. Des années pop aux années punk
Pierre de Chocqueuse revisite les années cinquante jusqu’aux années quatre-vingt qui ont vu l’apparition en France du rock puis de la musique pop jusqu’au punk. Son texte documenté fourmille d’anecdotes que l’auteur a vécu. On assiste à la création et la disparition de groupes et de musiciens d’une période qui reste une référence musicale.
Devenir acteur de la musique pop
La musique fit le bonheur de Pierre dans sa jeunesse. À Genève où vivaient ses grands-parents, le jeune frère de sa mère lui fit découvrir les Beatles et les Rolling Stones. Né au début des années cinquante, il vécut en direct l’âge d’or d’une pop musique devenue adulte, celle de la seconde moitié des années soixante et les années soixante-dix. Époque que l’on redécouvre aujourd’hui au cours de laquelle s’implanta dans le domaine médiatique une contre-culture militante avec ses journaux (Best, Rock & Folk, Actuel), ses émissions de radio (Campus de Michel Lancelot, le Pop-Club de José Arthur, ses films, ses livres, ses disques et ses concerts.
Mélomane boulimique, curieux de tout, Pierre organise des concerts à la fac de Nanterre. La musique qui lui trotte dans la tête lui fait alors endosser un habit de critique du rock au sein du magazine Best. Il travaille ensuite pour la maison de disque Polydor, dont il en devient attaché de presse, puis label manager. Ainsi, il s’occupe de nombreux artistes parmi lesquels Ringo Starr, les Who et les Bee Gees. Ces années Polydor furent aussi celles de sa découverte du jazz, plus proche de sa sensibilité. Plus tard, elle le conduira à faire carrière avec Jazz Hot.
Chronique des années disparues
Abordés sur un ton délibérément humoristique, ces souvenirs racontent une époque aujourd’hui disparue. On y rencontre des membres de sa famille dont il est alors le mouton noir, le rebelle chevelu dont le père se demande bien ce qu’il pourra faire plus tard. Mais aussi des personnages singuliers que l’on croirait sortis de romans. Tout est vrai dans ce récit écrit à la première personne. Il donne envie de se replonger dans ces années bénies où tout était généreux, permissif, et plus libre.
Le blog de Pierre de Choqueuse : Chocdeblog
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La presse en parle
Couleur Jazz : https://couleursjazz.fr/fr/pierre-de-chocqueuse-de-la-musique-plein-la-tete/
TSF jazz : https://www.tsfjazz.com/programmes/les-matins-jazz/2022-01-25/06-00
Mares & Jardins
Une ode à la nature
Que ce soit dans un jardin urbain ou une bord d’une mare, la bêche ou la perche à la main, Philippe Lacoche est un amoureux inconditionnel de la nature. Qui ne l’a pas déjà croisé dans ses habits de pécheur ou de jardinier, laissant tomber le clavier pour se fondre dans l’intimité de la nature ? A-t-il laissé quelqu’un indifférent ? Certainement pas le romancier Franck Maubert qui fait l’amitié de signer une préface haute en considération…
Dur confinement
Mais voilà ! Mars, avril, mai, juin… 2020. Chaque davantage confiné. Ça commence à faire long à notre auteur ! Ne plus pouvoir se balader sans attestation ; se priver d’aller au bistrot de toute façon fermé ; Oui, ça devient vraiment très long ! Heureusement, il lui reste le jardin. Alors, allons-y justement au fil de ces chroniques croquées au jour le jour par un Philippe Lacoche malicieux et rieur de lui-même.
Truculent jusqu’au bout des mots, nous voici naviguant sur l’eau plate de quelques mares où le jardinier à tôt fait de laisser tomber la bêche pour la perche, la touffe d’herbe pour l’eau épaisse et poissonneuse…
Jeux de mots, jeux de couleurs
D’abord éditées dans les pages du Courrier picard entre mars et août 2020, les Chroniques sont présentées ici dans leur ordre de parution. Quelques photographies passées en noir et blanc s’illustrent en miniature, laissant la tonalité des couleurs se jouer des mots et des situations…
« Le jardinier confiné, parfois, tourne en rond chez lui. Alors, pour se détendre, il fait un tour dans son jardin. Il observe. Là, un couple de tourterelles vient de se poser sur les branches hautes du cerisier de Tio Guy. Ils se donnent des petits coups de becs ce qui, sans aucun doute, dans la gestuelle tourterellière, sont les équivalents des baisers. »
Rues Madeleine Michelis
« Une toile de jute bleue recouvrait désormais les murs, des rideaux grenat ornaient la fenêtre, et une portière du même tissu fermait un cagibi. Je la tirai. Elle dissimulait dorénavant la cuve. Mais ce n’était pas tout. Le meuble, en dessous, occupait presque tout l’espace. Il était relégué au rang de vieillerie dont on n’ose cependant pas se débarrasser. À moins qu’on ne sache que faire de son contenu ?
J’éprouvais une sensation de flottement et un sentiment d’étrangeté, l’impression de me trouver une fois de plus hors-sol. Décidément, ma famille ne fonctionnait pas comme les autres. La fin de M expliquait-elle cette errance ? »
À la recherche
Par un témoignage poignant, subtil, Marie-Claude Durand, s’attaque au silence familial qui s’est installé devant la figure de sa tante, Madeleine Michelis, élevée au rang des Justes après la seconde Guerre Mondiale.
En nommant les objets, les lieux où sa tante a vécu, en essayant de reconstitué le puzzle de leur vie à toutes les deux, elle cherche à faire surgir une personne dynamique, inspirante qui s’ouvre à l’avenir.
Radio Amiens, exemple de radio locale
Une expérience de plus de dix ans
Radio Amiens, exemple de radio locale évoque l’épopée de cette radio associative créée à l’orée des années quatre-vingt. Ce livre vivant, informé, nous fait croiser des gens passionnés, politiques, journalistes, figures de la vie culturelle et personnalités du grand Amiens. La radio s’éteindra quelque dix années plus tard.
Une radio de militants associatifs
Deux cents personnes, des associations d’éducation populaire, d’action culturelle, de défense des droits humains seront partie prenante de cette aventure.
Ainsi, Radio Amiens à travers une cinquantaine de témoignages, fait partager le quotidien des studios et les grands événements qui ont marqué l’antenne et la vie amiénoise.
Défendre la liberté d’opinion
Le Courrier picard annonça en novembre 1981 la création de la radio Amiens par ces mots : « Radio Amiens : défendre la liberté d’opinion et écouter vivre le cœur de la région« . Car, en 1978, devant l’inquiétude liée à la création de radios dites « libres », la loi Lecat a un objectif répressif. Elle punit toute personne qui viole le monopole d’État est punie de un mois à un an d’emprisonnement ou à une amende de 10 000 F (1 525 €) à 100 000 francs (15 245 €). Cependant, le socialiste Georges Fillioud, futur ministre de la Communication, déposera un recours devant le Conseil constitutionnel le 7 juillet 1978. Il sera rejeté.
Mais la fin du monopole n’est plus très loin. Des radios pirates fleurissent ici ou là : écologistes, féministes, syndicales, associatives puis politiques.
Une histoire générale des radios libres
François Mitterrand, candidat à l’élection présidentielle de 1981, fera des radios libres la 94e proposition de son programme. La loi du 9 novembre 1981 créera les radios locales privées associatives par dérogation au monopole d’État.
Mais Radio Amiens c’est aussi histoire des radios libres confrontées à l’évolution législative des années quatre-vingt-dix. Des réseaux puissants de radio emporteront alors cette parole libérée vers des horizons bien plus commerciaux.
Qui sont Jean-François Leblond et Jean-Michel Héniquez ?
Tom ou l’Optimisme, cap sur l’autisme
Tom ou l’Optimisme, Cap sur l’autisme est l’appel au secours d’une mère démunie devant l’incompréhension face à l’autisme.
Depuis que Tom a deux ans, Elsa consulte des psychologues et des spécialistes. Comment aider un enfant puis un adolescent solitaire, en difficulté, qui se mure dans le silence et qui ne va jamais vers les autres ?
L’autisme : un chemin semé d’embûches
Car les diagnostics sont souvent antagonistes, imprécis, les prises en charge inadaptées, « l’inclusion » scolaire rime souvent avec harcèlement, traumatisme, exclusion.
Cependant, après des années de désarroi, Elsa découvre une association s’occupant de personnes atteintes de troubles autistiques et, en particulier, du syndrome d’Asperger.
Tout s’éclaire. Les informations fusent. La traversée solitaire se mue en odyssée…
Tom ou l’optimisme est un témoignage rare et émouvant qui rend hommage au travail des associations, à leur solidarité et qui plaide en faveur d’une alliance entre les familles, les enseignants ou les professionnels de santé, si souvent divisés.
L’extrait
« Après 18 mois d’attente, les tests de dépistage de l’autisme vont pouvoir commencer. J’ai l’impression que la mer Rouge va s’ouvrir et nous laisser passer. Que nous allons atteindre l’œil du cyclone et pouvoir enfin naviguer en eaux claires. Que Tom va mieux connaître son fonctionnement atypique, et cesser de penser qu’il est fou. »
Laissez-vous tenter par les premières pages ! Tom-Extraits
Sur le ring de ma vie. Témoignage.
Le témoignage de Ouissam Hattab sur son parcours vaut sans doute la peine de s’y attarder un peu.
Qui aurait pu deviner le destin de Ouissam Hattab, jeune de la banlieue d’Amiens ? À 15 ans, il ne sait pas lire. Dix ans plus tard, il ouvre son commerce après être même passé par la case prison !
Un témoignage singulier
Son parcours est fait de rencontres improbables, surprenantes peut-être, mais qui ont modifié profondément sa toute jeune vie. Et fait ce qu’il est devenu aujourd’hui. Ainsi son père, qui l’initie à la boxe, une prof de français et un jeu vidéo qui lui ouvrent les clefs de la lecture, des rapeurs, des créateurs de street wears, Amélie, qui deviendra sa compagne… Des copains du quartier, surtout, avec qui il monte son entreprise.
Mais Ouissam Hattab n’a pas eu le choix. Mauvais élève au collège, il n’a rien pour briller aux yeux de ses parents, et seule la boxe pouvait le faire exister dans sa petite famille. On peut dire qu’il a boxé par obligation.
Puis il s’est ouvert à la vie, a vu ce qui se faisait ailleurs, et s’est mis à avoir des idées : une ligne de fringues, une boutique…
Alors quand le moment du choix est arrivé, il n’y a pas eu photo. Le business, le commerce, faire des affaires, communiquer pour se faire connaître, c’est bien ce qui est fait pour lui. Et Dieu sait s’il kiffe tout ça !
Mettre sur le papier le récit de ma vie, pour dire ce qu’il traversé pour en arriver là, à 30 ans, aujourd’hui.
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