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couverture Nionikan

Nionikan

Prix:17 €

Nionikan, Nouvelle-Calédonie

Nionikan est une histoire d’amour !  Un amour vrai pour la Nouvelle-Calédonie et les Calédoniens, Kanak comme Caldoches. Et un amour romanesque entre les personnages du roman. Celui entre Soizic et Willy, qui est effleuré et ne se déclare pas. Celui entre Médéric et Isabelle, amour caché car ils appartiennent à des communautés différentes, « métro » et métis.

Françoise du Clairais montre que l’amour efface les différences, les tensions, le racisme souvent, la haine peut-être… Elle suit en cela la posture de Jean-Marie Tjibaou comme celle des Kanak, adepte d’une certaine forme de non-violence.

Le drame de la grotte d’Ouvéa

Car la véritable intrigue de Nionikan se trouve ailleurs : vouloir comprendre, sans prendre parti, comment les deux communautés, Kanak et Caldoches, en sont arrivées aux affrontements des années quatre-vingt.

Mais c’est une véritable « guerre civile » qui s’est déroulée en cette fin des années quatre-vingt. Elle s’est terminée dans le sang. La prise d’otages de la Grotte d’Ouvéa, les morts de gendarmes et de jeunes kanak en sont les illustrations les plus médiatiques. Le roman se conclu sur la paix retrouvée par les négociations conduites par Michel Rocard, alors Premier Ministre, avec Jean-Marie Tjibaou et Jacques Lafleur, puis par l’assassinat de Jean-Marie Tjibaou par un Mélanésien. 

La situation politique en Nouvelle-Calédonie

Dans Nionikan, Françoise du Clairais dénonce aussi l’attitude des différents Gouvernements français. Souvent hostiles à la discussion, ils n’ont pas toujours compris ou voulu comprendre ce qui se jouait en Nouvelle-Calédonie. Les accords de Matignon signés le 26 juin 1988 sous le Gouvernement Rocard ouvriront cependant la voie à l’accord de Nouméa. Signé le 5 mai 1998, il met en œuvre le référendum d’auto-détermination. Il inclut aussi la reconnaissance d’une citoyenneté de la Nouvelle-Calédonie, premier exemple d’infra-citoyenneté en France.

Les référendums pour l’auto-détermination du « Caillou »

Dans cette période de référendums pour l’auto-détermination du statut de la Nouvelle-Calédonie, Françoise du Clairais apporte la compréhension nécessaire sur les racines de la situation actuelle.

Le 4 novembre 2018, 56,4 % des électeurs ont voté contre l’indépendance.

Le 4 octobre 2020, 53,26 % des électeurs ont voté contre l’indépendance.

Un troisième et dernier référendum est possible dans les deux années à venir.


Qui est Françoise du Clairais ?

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