De la musique plein la tête. Des années pop aux années punk
Pierre de Chocqueuse revisite les années cinquante jusqu’aux années quatre-vingt qui ont vu l’apparition en France du rock puis de la musique pop jusqu’au punk. Son texte documenté fourmille d’anecdotes que l’auteur a vécu. On assiste à la création et la disparition de groupes et de musiciens d’une période qui reste une référence musicale.
Devenir acteur de la musique pop
La musique fit le bonheur de Pierre dans sa jeunesse. À Genève où vivaient ses grands-parents, le jeune frère de sa mère lui fit découvrir les Beatles et les Rolling Stones. Né au début des années cinquante, il vécut en direct l’âge d’or d’une pop musique devenue adulte, celle de la seconde moitié des années soixante et les années soixante-dix. Époque que l’on redécouvre aujourd’hui au cours de laquelle s’implanta dans le domaine médiatique une contre-culture militante avec ses journaux (Best, Rock & Folk, Actuel), ses émissions de radio (Campus de Michel Lancelot, le Pop-Club de José Arthur, ses films, ses livres, ses disques et ses concerts.
Mélomane boulimique, curieux de tout, Pierre organise des concerts à la fac de Nanterre. La musique qui lui trotte dans la tête lui fait alors endosser un habit de critique du rock au sein du magazine Best. Il travaille ensuite pour la maison de disque Polydor, dont il en devient attaché de presse, puis label manager. Ainsi, il s’occupe de nombreux artistes parmi lesquels Ringo Starr, les Who et les Bee Gees. Ces années Polydor furent aussi celles de sa découverte du jazz, plus proche de sa sensibilité. Plus tard, elle le conduira à faire carrière avec Jazz Hot.
Chronique des années disparues
Abordés sur un ton délibérément humoristique, ces souvenirs racontent une époque aujourd’hui disparue. On y rencontre des membres de sa famille dont il est alors le mouton noir, le rebelle chevelu dont le père se demande bien ce qu’il pourra faire plus tard. Mais aussi des personnages singuliers que l’on croirait sortis de romans. Tout est vrai dans ce récit écrit à la première personne. Il donne envie de se replonger dans ces années bénies où tout était généreux, permissif, et plus libre.
Le blog de Pierre de Choqueuse : Chocdeblog
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La presse en parle
Couleur Jazz : https://couleursjazz.fr/fr/pierre-de-chocqueuse-de-la-musique-plein-la-tete/
TSF jazz : https://www.tsfjazz.com/programmes/les-matins-jazz/2022-01-25/06-00
Mares & Jardins
Une ode à la nature
Que ce soit dans un jardin urbain ou une bord d’une mare, la bêche ou la perche à la main, Philippe Lacoche est un amoureux inconditionnel de la nature. Qui ne l’a pas déjà croisé dans ses habits de pécheur ou de jardinier, laissant tomber le clavier pour se fondre dans l’intimité de la nature ? A-t-il laissé quelqu’un indifférent ? Certainement pas le romancier Franck Maubert qui fait l’amitié de signer une préface haute en considération…
Dur confinement
Mais voilà ! Mars, avril, mai, juin… 2020. Chaque davantage confiné. Ça commence à faire long à notre auteur ! Ne plus pouvoir se balader sans attestation ; se priver d’aller au bistrot de toute façon fermé ; Oui, ça devient vraiment très long ! Heureusement, il lui reste le jardin. Alors, allons-y justement au fil de ces chroniques croquées au jour le jour par un Philippe Lacoche malicieux et rieur de lui-même.
Truculent jusqu’au bout des mots, nous voici naviguant sur l’eau plate de quelques mares où le jardinier à tôt fait de laisser tomber la bêche pour la perche, la touffe d’herbe pour l’eau épaisse et poissonneuse…
Jeux de mots, jeux de couleurs
D’abord éditées dans les pages du Courrier picard entre mars et août 2020, les Chroniques sont présentées ici dans leur ordre de parution. Quelques photographies passées en noir et blanc s’illustrent en miniature, laissant la tonalité des couleurs se jouer des mots et des situations…
« Le jardinier confiné, parfois, tourne en rond chez lui. Alors, pour se détendre, il fait un tour dans son jardin. Il observe. Là, un couple de tourterelles vient de se poser sur les branches hautes du cerisier de Tio Guy. Ils se donnent des petits coups de becs ce qui, sans aucun doute, dans la gestuelle tourterellière, sont les équivalents des baisers. »